MARCHE DE NOELNom de l'événement :
Restauration sur place. Nombreuses animations.
Viami (Val d’Ille Accueil Migrants) vous propose une soirée film-rencontre
Un Pays de Papier, de Marion Boé – 68 minutes
Rencontre et discussion à l’issue du film avec la réalisatrice.
Depuis près de vingt ans, Mélanie accueille dans son cabinet d’avocate des mineurs non accompagnés et tente de les aider dans la jungle de la justice française. À travers son métier, elle cherche à réparer les injustices que subissent ces jeunes migrants déjà traumatisés par un long exil. Et quand la justice ne fait plus son travail, c’est en citoyenne engagée qu’elle les prend sous son aile et poursuit son combat.
Contes d’halloween avec Laura, diseuse de belles aventures. Chants hantés par “le choeur des villages”. Feu de cheminée, gâteaux traditionnels d’halloween à l’irlandaise.
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
L’ Art de perdre d’Alice Zeniter, événement littéraire en 2017 et prix Goncourt des lycéens, tisse une fresque sur trois générations, entre l’Algérie et la France, remplie de non-dits. Au centre de la saga, le personnage de Naïma, trentenaire qui interroge ses racines dont personne ne semble vouloir lui parler : la Guerre d’Algérie, l’exil, le silence. À travers cette quête et cette plongée dans la mémoire familiale, l’autrice interroge la notion de tranmission : que veut dire transmettre un pays, une culture, une langue, une histoire faite de silences ? L’adaptation de Sabrina Kouroughli, comédienne et metteuse en scène, se centre sur le personnage de Naïma. Pour reconstituer le puzzle de l’histoire familiale, elle interroge sa grand-mère et convoque le fantôme de son grand-père, porteur de la mémoire du passé. Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité, avec humour et délicatesse.
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
L’ Art de perdre d’Alice Zeniter, événement littéraire en 2017 et prix Goncourt des lycéens, tisse une fresque sur trois générations, entre l’Algérie et la France, remplie de non-dits. Au centre de la saga, le personnage de Naïma, trentenaire qui interroge ses racines dont personne ne semble vouloir lui parler : la Guerre d’Algérie, l’exil, le silence. À travers cette quête et cette plongée dans la mémoire familiale, l’autrice interroge la notion de tranmission : que veut dire transmettre un pays, une culture, une langue, une histoire faite de silences ? L’adaptation de Sabrina Kouroughli, comédienne et metteuse en scène, se centre sur le personnage de Naïma. Pour reconstituer le puzzle de l’histoire familiale, elle interroge sa grand-mère et convoque le fantôme de son grand-père, porteur de la mémoire du passé. Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité, avec humour et délicatesse.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
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Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
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Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Théâtre de Naomi Wallace par le Collectif en Carafe
Tout public à partir de 14 ans
Histoire : 1665, la Grande Peste de Londres, Bunce, un marin, et Morse, une jeune fille, s’introduisent chez les Snelgrave confinés dans leur riche demeure. Sous l’oeil de Kabe, le gardien, les inégalités de classe se rejouent à huis-clos. Dans cette société miniature, chacun lutte pour sa survie en affirmant sa place ou en tentant de sortir de celle qui lui est assignée.
3 comédiens et 2 comédiennes amateurs nous embarquent avec grand talent dans cette histoire percutante.
Duo de solistes par la Compagnie Version 14
Théâtre
Tout public à partir de 11 ans
A et C choisissent chacun de s’éloigner du groupe pour partir explorer cet ailleurs à la fois proche et méconnu. Aussi légers que des nuages, ils décident de s’aventurer vers d’autres contrées, sous des cieux différents. Cette rencontre inattendue marque le début d’un curieux périple à travers le monde, à travers le temps, avec des nuages et des mots en guise de boussole.
Au delà des mots est un voyage poétique et absurde de deux rêveurs amoureux des mots. Après une rencontre fortuite, A et C se découvrent des aspirations communes, des envies de découvrir les mystères du monde tel qu’il existe à travers les mots. Démarre alors une quête du sens, une aventure qui les amène dans les lieux les plus reculés de la planète, à explorer le passé de l’humanité pour tenter d’en saisir l’essence. Curieux, ils interrogent les nuages, sondent les bruits qu’ils leur parviennent, les mots qui raisonnent en eux afin de trouver des sens inattendus aux phénomènes qu’ils observent. Une seule certitude : un tel voyage ne sera pas sans encombre car la nature, aussi belle et fascinante soit elle, peut se montrer implacable, même pour des explorateurs-rêveurs chevronnés.
Interprétation
Christophe Briand, André Layus
Écriture et mise en scène
André Layus, Christophe Briand et Benji Leblay
Regard extérieur : Benji Leblay
Création sonore : Benji Leblay et Patrick Rocher
Création lumière : Didier Alicourtis
Photos : Studio Carlito
Co Production : La Station Théâtre et Version 14
Avec le soutien de : Les Ateliers du Vent, La Cité du livre de Bécherel et Rennes Métropole
Des rubans qui tournoient et des papillons dans le ventre : est-ce que c’est ça l’amour ?
Dans un espace blanc, irisé et enveloppant, quatre camarades en quête de sens fouillent dans leurs expériences de vie et se racontent leur rapport à l’amour. D’où vient leur envie irrépressible d’aimer ? Comment sortir du romantisme sirupeux ? Y a‑t-il une différence entre l’amour et l’amitié ? Comment bien se séparer ?Et finalement comment aimer mieux ? La brigade arc-en-ciel partage ainsi ses interrogations et ses résolutions pour laisser émerger les mystérieuses amoures plurielles. Avec cette nouvelle création dont les premiers pas ont eu lieu en résidence à l’école Liberté de Québriac, Enora Boëlle revient au Théâtre de Poche en bande pour parler d’amour. Avec notamment Hélène Bertrand, membre de la compagnie 52 Hertz, associée au Théâtre de Poche.
Des rubans qui tournoient et des papillons dans le ventre : est-ce que c’est ça l’amour ?
Dans un espace blanc, irisé et enveloppant, quatre camarades en quête de sens fouillent dans leurs expériences de vie et se racontent leur rapport à l’amour. D’où vient leur envie irrépressible d’aimer ? Comment sortir du romantisme sirupeux ? Y a‑t-il une différence entre l’amour et l’amitié ? Comment bien se séparer ?Et finalement comment aimer mieux ? La brigade arc-en-ciel partage ainsi ses interrogations et ses résolutions pour laisser émerger les mystérieuses amoures plurielles. Avec cette nouvelle création dont les premiers pas ont eu lieu en résidence à l’école Liberté de Québriac, Enora Boëlle revient au Théâtre de Poche en bande pour parler d’amour. Avec notamment Hélène Bertrand, membre de la compagnie 52 Hertz, associée au Théâtre de Poche.
Une « météodanse » burlesque et poétique pour prendre la température de nos humeurs.
Avec ce solo autour du changement climatique, Jonas Chéreau imagine une étude météorologique dansée, où chaque mouvement enclenche le suivant dans une réaction en chaîne burlesque. Temps de Baleine est pensé comme une poésie que l’on peut lire dans un sens ou dans un autre. Les mots abordent les relations entretenues entre le ciel et la danse, tandis qu’avec sa « météodanse », l’artiste s’amuse à relier les états intérieurs, les émotions, à ceux de l’extérieur. En équilibre entre abstraction et fiction, magie et contemplation, le danseur pose cette question moins simple qu’il n’y paraît : c’est quoi le problème avec le climat ? Ludique et ambigu, ce corps‑écosystème s’ouvre comme les pages d’un livre et donne à voir d’insaisissables phénomènes météorologiques. À dos de baleine, par-delà les vagues et les tempêtes, Jonas Chéreau emmène les enfants – et les adultes – là où les mots ne peuvent pas aller.
Une « météodanse » burlesque et poétique pour prendre la température de nos humeurs.
Avec ce solo autour du changement climatique, Jonas Chéreau imagine une étude météorologique dansée, où chaque mouvement enclenche le suivant dans une réaction en chaîne burlesque. Temps de Baleine est pensé comme une poésie que l’on peut lire dans un sens ou dans un autre. Les mots abordent les relations entretenues entre le ciel et la danse, tandis qu’avec sa « météodanse », l’artiste s’amuse à relier les états intérieurs, les émotions, à ceux de l’extérieur. En équilibre entre abstraction et fiction, magie et contemplation, le danseur pose cette question moins simple qu’il n’y paraît : c’est quoi le problème avec le climat ? Ludique et ambigu, ce corps‑écosystème s’ouvre comme les pages d’un livre et donne à voir d’insaisissables phénomènes météorologiques. À dos de baleine, par-delà les vagues et les tempêtes, Jonas Chéreau emmène les enfants – et les adultes – là où les mots ne peuvent pas aller.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le poil, sans oser le demander.
Nous avons toutes et tous cinq millions de poils sur le corps. Mais comment poussent-ils ? À quoi servent-ils ? Est-ce qu’on peut avoir un poil préféré ? Et que faire en cas de poil dans la main ? À l’aide d’une botte de paille, quelques poireaux, un ticket de métro, et surtout sans powerpoint, la comédienne conférencière Blanche Rérolle tente de disséquer le poil.
Et de poser une autre question, plus vaste : comment s’affranchir des stéréotypes de genre, de la virilité drue à la douceur lisse ? De ses caractéristiques biologiques à ses dimensions intimes, sociales et politiques, une étude du poil, en trois parties. Et avec sérieux bien sûr. Parce qu’après tout, pourquoi pas ?
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le poil, sans oser le demander.
Nous avons toutes et tous cinq millions de poils sur le corps. Mais comment poussent-ils ? À quoi servent-ils ? Est-ce qu’on peut avoir un poil préféré ? Et que faire en cas de poil dans la main ? À l’aide d’une botte de paille, quelques poireaux, un ticket de métro, et surtout sans powerpoint, la comédienne conférencière Blanche Rérolle tente de disséquer le poil.
Et de poser une autre question, plus vaste : comment s’affranchir des stéréotypes de genre, de la virilité drue à la douceur lisse ? De ses caractéristiques biologiques à ses dimensions intimes, sociales et politiques, une étude du poil, en trois parties. Et avec sérieux bien sûr. Parce qu’après tout, pourquoi pas ?
Pour la traditionnelle Fête des châtaignes, Fest-Deiz avec le cercle d’Ille-et-Rance de Québriac.
La châtaigne sera à l’honneur et se dégustera sous toute les formes, grillées, en soupe, en confiture…
Venez également participer à notre championnat d’épluchage de ce fruit automnal !
Galettes saucisses, crêpes et buvette sur place.
Compagnie de la Bouilloire
Solo de Clowne
Spectacle burlesque mise au jour et au jeu de la blessure d’enfance et de la guérison.
Tout public à partir de 11 ans
Passage à Table nous convie à une cérémonie un peu particulière, plutôt funèbre quoiqu’hilarante le plus souvent. Gustina, bonne femme candide mais pragmatique essaie de garder la main sur une situation rocambolesque et nous entraine dans une ronde joyeuse mêlée de souvenirs, de maximes définitives et de chansons un peu délavées.
Pour rendre service à sa voisine Isabelle dont le père est décédé, Gustina accueille chez elle la cérémonie funèbre. Tous, amis, famille, connaissances sont réunis. Gustina s’agite, met la main à la pâte, les pieds dans le plat et ce que l’on déguste ne correspond pas forcément à la carte.
Passage à table !
Passage à Table est né de la recherche de la clowne et musicienne Isabelle Bazin autour de l’expérience de maltraitance dont elle a été l’objet enfant de la part d’un père violent, imprévisible et manipulateur. Donner la parole à Gustina semblait le meilleur moyen pour elle de témoigner, raconter l’indicible et faire voler en éclats de rire la tristesse ou l’apitoiement. Dans un irrémédiable engrenage de vérités, la clowne nous entraine dans un périple burlesque et libérateur au service de l’irrévérence, de la joie, de l’art comme soupape, avec la musique en bandoulière, toujours.
Jeu : Isabelle Bazin
Écriture : Françoise Fognini et Isabelle Bazin
Mise en scène : Johan Lescop et Françoise Fognini
Régie son et lumière : Fabrice Garnier
Compagnie Albaricate
Chanson et chansigne
Tout public à partir de 8 ans
Albaricate, c’est un duo de création originale, une femme chansigneuse et un homme chanteur pour 1h de concert en Langue des Signes Française et chanson acoustique.
Après Chansons pour les Yeux et les Oreilles (2014), Ulysse, Maudit Sois-Tu (2018) et Impasse des Cormorans (2021) Albaricate revient avec l’envie de rendre hommage à Anne Sylvestre. Brossant eux même depuis quelques années déjà le portrait de personnages hauts en couleurs, ils ont trouvé une résonance toute particulière dans ceux de l’autrice-compositrice féministe. C’est donc à deux, en chansons avec Samuel « Albatros » Genin à la guitare, et Clémence « Suricate » Colin au chansigne que le duo reprend une sélection de son répertoire. De chansons féministes comme Une sorcière comme les autres à la gouaille de Les grandes balades, Albaricate évolue
autour de textes à la fois drôles, engagés ou intimes à l’image de la chanson Comme un personnage de Sempé.
Avec : Clémence Colin et Samuel Genin
Chansons de Anne Sylvestre