Tootsie – Sydney PollackNom de l'événement :

Start-up foraine sous chapiteau
« Aujourd’hui, c’est déjà demain ! » alors dépêchez-vous de pousser la porte du Dédale Palace et entrez dans les méandres du web.
Une version d’internet foraine, cynique et à la modernité douteuse.
Un palais des glaces où l’on perd la notion du temps et de l’autre.
Une expérience transhumaine personnalisée pour vous aider à embrasser ce XXIe siècle qui nous pend tous au nez.
Le Dédale Palace est un lieu, comme aime en ouvrir la Compagnie OCUS. Quand on passe la porte du chapiteau, on entre dans un palais des glaces coloré comme on pénétrait derrière la vitre de nos écrans. On y parle des temps nouveaux, où se croisent des histoires de solitudes aveugles, de monstres transhumanistes, d’oracles algorithmiques et de déconnexion. Un labyrinthe qui interroge ces mots à géométrie variable : le lien, la communauté, le partage, le réseau… Avec ou sans contact.
Start-up foraine sous chapiteau
« Aujourd’hui, c’est déjà demain ! » alors dépêchez-vous de pousser la porte du Dédale Palace et entrez dans les méandres du web.
Une version d’internet foraine, cynique et à la modernité douteuse.
Un palais des glaces où l’on perd la notion du temps et de l’autre.
Une expérience transhumaine personnalisée pour vous aider à embrasser ce XXIe siècle qui nous pend tous au nez.
Le Dédale Palace est un lieu, comme aime en ouvrir la Compagnie OCUS. Quand on passe la porte du chapiteau, on entre dans un palais des glaces coloré comme on pénétrait derrière la vitre de nos écrans. On y parle des temps nouveaux, où se croisent des histoires de solitudes aveugles, de monstres transhumanistes, d’oracles algorithmiques et de déconnexion. Un labyrinthe qui interroge ces mots à géométrie variable : le lien, la communauté, le partage, le réseau… Avec ou sans contact.
Start-up foraine sous chapiteau
« Aujourd’hui, c’est déjà demain ! » alors dépêchez-vous de pousser la porte du Dédale Palace et entrez dans les méandres du web.
Une version d’internet foraine, cynique et à la modernité douteuse.
Un palais des glaces où l’on perd la notion du temps et de l’autre.
Une expérience transhumaine personnalisée pour vous aider à embrasser ce XXIe siècle qui nous pend tous au nez.
Le Dédale Palace est un lieu, comme aime en ouvrir la Compagnie OCUS. Quand on passe la porte du chapiteau, on entre dans un palais des glaces coloré comme on pénétrait derrière la vitre de nos écrans. On y parle des temps nouveaux, où se croisent des histoires de solitudes aveugles, de monstres transhumanistes, d’oracles algorithmiques et de déconnexion. Un labyrinthe qui interroge ces mots à géométrie variable : le lien, la communauté, le partage, le réseau… Avec ou sans contact.
Un monologue mordant et fantasque pour penser les liens entre mode d’habitation et identité de genre.
De jeux de langage en pirouettes onomatopiques et anagrammiques, Pierre Maillet dynamite le concept de conférence en donnant corps et voix au texte écrit par Patricia Allio. Il y est question de pensée queer, ce courant révolutionnaire de la fin du XXe siècle qui vise à défaire une conception normative et naturaliste de la dualité des genres, pour penser le caractère mutable et pluriel de l’identité. S’appuyant sur des exemples empruntés à l’actualité récente comme à l’histoire de l’art, le comédien parle architecture, nomadisme, patriarcat et fluidité des genres. Cet éloge d’une identité nomade inter et transspéciste ouvre à la considération politique d’un monde sans frontières.
* avertissement : scènes de nudité intégrale
Un monologue mordant et fantasque pour penser les liens entre mode d’habitation et identité de genre.
De jeux de langage en pirouettes onomatopiques et anagrammiques, Pierre Maillet dynamite le concept de conférence en donnant corps et voix au texte écrit par Patricia Allio. Il y est question de pensée queer, ce courant révolutionnaire de la fin du XXe siècle qui vise à défaire une conception normative et naturaliste de la dualité des genres, pour penser le caractère mutable et pluriel de l’identité. S’appuyant sur des exemples empruntés à l’actualité récente comme à l’histoire de l’art, le comédien parle architecture, nomadisme, patriarcat et fluidité des genres. Cet éloge d’une identité nomade inter et transspéciste ouvre à la considération politique d’un monde sans frontières.
* avertissement : scènes de nudité intégrale