MARCHE DE NOELNom de l'événement :
Restauration sur place. Nombreuses animations.
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
L’ Art de perdre d’Alice Zeniter, événement littéraire en 2017 et prix Goncourt des lycéens, tisse une fresque sur trois générations, entre l’Algérie et la France, remplie de non-dits. Au centre de la saga, le personnage de Naïma, trentenaire qui interroge ses racines dont personne ne semble vouloir lui parler : la Guerre d’Algérie, l’exil, le silence. À travers cette quête et cette plongée dans la mémoire familiale, l’autrice interroge la notion de tranmission : que veut dire transmettre un pays, une culture, une langue, une histoire faite de silences ? L’adaptation de Sabrina Kouroughli, comédienne et metteuse en scène, se centre sur le personnage de Naïma. Pour reconstituer le puzzle de l’histoire familiale, elle interroge sa grand-mère et convoque le fantôme de son grand-père, porteur de la mémoire du passé. Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité, avec humour et délicatesse.
Comment faire ressurgir un pays du silence ?
L’ Art de perdre d’Alice Zeniter, événement littéraire en 2017 et prix Goncourt des lycéens, tisse une fresque sur trois générations, entre l’Algérie et la France, remplie de non-dits. Au centre de la saga, le personnage de Naïma, trentenaire qui interroge ses racines dont personne ne semble vouloir lui parler : la Guerre d’Algérie, l’exil, le silence. À travers cette quête et cette plongée dans la mémoire familiale, l’autrice interroge la notion de tranmission : que veut dire transmettre un pays, une culture, une langue, une histoire faite de silences ? L’adaptation de Sabrina Kouroughli, comédienne et metteuse en scène, se centre sur le personnage de Naïma. Pour reconstituer le puzzle de l’histoire familiale, elle interroge sa grand-mère et convoque le fantôme de son grand-père, porteur de la mémoire du passé. Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité, avec humour et délicatesse.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Une course cycliste pour deux commentatrices et quatre moniteurs à tube cathodique.
Au premier plan, quatre écrans télé du siècle dernier. Au second plan, caméras, banc-titre, fond de studio, pour filmer les objets et les visages. Entre théâtre d’objet et film d’animation en direct, la compagnie les Maladroits compose une course cycliste où l’absurde côtoie la compétition. Top départ, remise de prix, chevauchée fantastique, chute et défaite : on partage l’exaltation des commentatrices devant la dernière course d’un sportif historique. Le cyclisme, c’est le sport où l’individu compte autant que le collectif, du peloton à l’échappée. Et pour gagner, le cycliste a besoin de son adversaire.
Une manifestation sportive sur laquelle les Maladroits portent leur regard sociétal et politique, avec humour. C’est la reconstitution du sport à la télévision, presque comme à la maison.
Des rubans qui tournoient et des papillons dans le ventre : est-ce que c’est ça l’amour ?
Dans un espace blanc, irisé et enveloppant, quatre camarades en quête de sens fouillent dans leurs expériences de vie et se racontent leur rapport à l’amour. D’où vient leur envie irrépressible d’aimer ? Comment sortir du romantisme sirupeux ? Y a‑t-il une différence entre l’amour et l’amitié ? Comment bien se séparer ?Et finalement comment aimer mieux ? La brigade arc-en-ciel partage ainsi ses interrogations et ses résolutions pour laisser émerger les mystérieuses amoures plurielles. Avec cette nouvelle création dont les premiers pas ont eu lieu en résidence à l’école Liberté de Québriac, Enora Boëlle revient au Théâtre de Poche en bande pour parler d’amour. Avec notamment Hélène Bertrand, membre de la compagnie 52 Hertz, associée au Théâtre de Poche.
Des rubans qui tournoient et des papillons dans le ventre : est-ce que c’est ça l’amour ?
Dans un espace blanc, irisé et enveloppant, quatre camarades en quête de sens fouillent dans leurs expériences de vie et se racontent leur rapport à l’amour. D’où vient leur envie irrépressible d’aimer ? Comment sortir du romantisme sirupeux ? Y a‑t-il une différence entre l’amour et l’amitié ? Comment bien se séparer ?Et finalement comment aimer mieux ? La brigade arc-en-ciel partage ainsi ses interrogations et ses résolutions pour laisser émerger les mystérieuses amoures plurielles. Avec cette nouvelle création dont les premiers pas ont eu lieu en résidence à l’école Liberté de Québriac, Enora Boëlle revient au Théâtre de Poche en bande pour parler d’amour. Avec notamment Hélène Bertrand, membre de la compagnie 52 Hertz, associée au Théâtre de Poche.
Une « météodanse » burlesque et poétique pour prendre la température de nos humeurs.
Avec ce solo autour du changement climatique, Jonas Chéreau imagine une étude météorologique dansée, où chaque mouvement enclenche le suivant dans une réaction en chaîne burlesque. Temps de Baleine est pensé comme une poésie que l’on peut lire dans un sens ou dans un autre. Les mots abordent les relations entretenues entre le ciel et la danse, tandis qu’avec sa « météodanse », l’artiste s’amuse à relier les états intérieurs, les émotions, à ceux de l’extérieur. En équilibre entre abstraction et fiction, magie et contemplation, le danseur pose cette question moins simple qu’il n’y paraît : c’est quoi le problème avec le climat ? Ludique et ambigu, ce corps‑écosystème s’ouvre comme les pages d’un livre et donne à voir d’insaisissables phénomènes météorologiques. À dos de baleine, par-delà les vagues et les tempêtes, Jonas Chéreau emmène les enfants – et les adultes – là où les mots ne peuvent pas aller.
Une « météodanse » burlesque et poétique pour prendre la température de nos humeurs.
Avec ce solo autour du changement climatique, Jonas Chéreau imagine une étude météorologique dansée, où chaque mouvement enclenche le suivant dans une réaction en chaîne burlesque. Temps de Baleine est pensé comme une poésie que l’on peut lire dans un sens ou dans un autre. Les mots abordent les relations entretenues entre le ciel et la danse, tandis qu’avec sa « météodanse », l’artiste s’amuse à relier les états intérieurs, les émotions, à ceux de l’extérieur. En équilibre entre abstraction et fiction, magie et contemplation, le danseur pose cette question moins simple qu’il n’y paraît : c’est quoi le problème avec le climat ? Ludique et ambigu, ce corps‑écosystème s’ouvre comme les pages d’un livre et donne à voir d’insaisissables phénomènes météorologiques. À dos de baleine, par-delà les vagues et les tempêtes, Jonas Chéreau emmène les enfants – et les adultes – là où les mots ne peuvent pas aller.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le poil, sans oser le demander.
Nous avons toutes et tous cinq millions de poils sur le corps. Mais comment poussent-ils ? À quoi servent-ils ? Est-ce qu’on peut avoir un poil préféré ? Et que faire en cas de poil dans la main ? À l’aide d’une botte de paille, quelques poireaux, un ticket de métro, et surtout sans powerpoint, la comédienne conférencière Blanche Rérolle tente de disséquer le poil.
Et de poser une autre question, plus vaste : comment s’affranchir des stéréotypes de genre, de la virilité drue à la douceur lisse ? De ses caractéristiques biologiques à ses dimensions intimes, sociales et politiques, une étude du poil, en trois parties. Et avec sérieux bien sûr. Parce qu’après tout, pourquoi pas ?
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le poil, sans oser le demander.
Nous avons toutes et tous cinq millions de poils sur le corps. Mais comment poussent-ils ? À quoi servent-ils ? Est-ce qu’on peut avoir un poil préféré ? Et que faire en cas de poil dans la main ? À l’aide d’une botte de paille, quelques poireaux, un ticket de métro, et surtout sans powerpoint, la comédienne conférencière Blanche Rérolle tente de disséquer le poil.
Et de poser une autre question, plus vaste : comment s’affranchir des stéréotypes de genre, de la virilité drue à la douceur lisse ? De ses caractéristiques biologiques à ses dimensions intimes, sociales et politiques, une étude du poil, en trois parties. Et avec sérieux bien sûr. Parce qu’après tout, pourquoi pas ?
Une balade visuelle et sonore à travers champs, comme une invitation à prendre le temps de repenser notre rapport au vivant.
C’est l’histoire d’un rendez-vous, donné par la fille, étudiante, à sa mère. Pour se retrouver, chacune quitte la ville, traverse la zone industrielle, marche dans les chemins creux et à travers champs. Au gré de leurs rencontres se tisse un récit à plusieurs voix, fait de petites anecdotes, de découvertes et de grandes questions.
Une histoire de transmission entre les êtres et les générations, de doute et de partage. Un spectacle dans lequel la table du petit-déjeuner devient un paysage puis un autre, au gré des manipulations d’objets. Nourri de rencontres avec des agricultrices et des scientifiques, Muesli est un voyage immobile, tout en douceur et délicatesse.
Une balade visuelle et sonore à travers champs, comme une invitation à prendre le temps de repenser notre rapport au vivant.
C’est l’histoire d’un rendez-vous, donné par la fille, étudiante, à sa mère. Pour se retrouver, chacune quitte la ville, traverse la zone industrielle, marche dans les chemins creux et à travers champs. Au gré de leurs rencontres se tisse un récit à plusieurs voix, fait de petites anecdotes, de découvertes et de grandes questions.
Une histoire de transmission entre les êtres et les générations, de doute et de partage. Un spectacle dans lequel la table du petit-déjeuner devient un paysage puis un autre, au gré des manipulations d’objets. Nourri de rencontres avec des agricultrices et des scientifiques, Muesli est un voyage immobile, tout en douceur et délicatesse.
Un monologue mordant et fantasque pour penser les liens entre mode d’habitation et identité de genre.
De jeux de langage en pirouettes onomatopiques et anagrammiques, Pierre Maillet dynamite le concept de conférence en donnant corps et voix au texte écrit par Patricia Allio. Il y est question de pensée queer, ce courant révolutionnaire de la fin du XXe siècle qui vise à défaire une conception normative et naturaliste de la dualité des genres, pour penser le caractère mutable et pluriel de l’identité. S’appuyant sur des exemples empruntés à l’actualité récente comme à l’histoire de l’art, le comédien parle architecture, nomadisme, patriarcat et fluidité des genres. Cet éloge d’une identité nomade inter et transspéciste ouvre à la considération politique d’un monde sans frontières.
* avertissement : scènes de nudité intégrale
Un monologue mordant et fantasque pour penser les liens entre mode d’habitation et identité de genre.
De jeux de langage en pirouettes onomatopiques et anagrammiques, Pierre Maillet dynamite le concept de conférence en donnant corps et voix au texte écrit par Patricia Allio. Il y est question de pensée queer, ce courant révolutionnaire de la fin du XXe siècle qui vise à défaire une conception normative et naturaliste de la dualité des genres, pour penser le caractère mutable et pluriel de l’identité. S’appuyant sur des exemples empruntés à l’actualité récente comme à l’histoire de l’art, le comédien parle architecture, nomadisme, patriarcat et fluidité des genres. Cet éloge d’une identité nomade inter et transspéciste ouvre à la considération politique d’un monde sans frontières.
* avertissement : scènes de nudité intégrale
Une chorégraphie pour quatre voix, une écriture collective qui chante et danse.
Quatre voix, quatre corps. Par un jeu d’écoute et de regard, quatre artistes interagissent, s’accordent, se désaccordent. Quatre personnes cherchent, en dessous des certitudes, si d’autres formes politiques leur permettraient de communiquer. Elles parlent d’intelligence par la distance entre leurs regards, par la possibilité du désaccord. Tentant de représenter la possibilité du côtoiement, leurs voix chantent en breton, en français ou en italien.
Gestes discrets, paroles de maintenant, bourdon long et danse spontanée, elles créent des interactions drolatiques et sonores. Elles honorent l’altérité, les liens et le vernaculaire, elles cherchent un « nous », sans définition, un espace de négociation du présent.
Une chorégraphie pour quatre voix, une écriture collective qui chante et danse.
Quatre voix, quatre corps. Par un jeu d’écoute et de regard, quatre artistes interagissent, s’accordent, se désaccordent. Quatre personnes cherchent, en dessous des certitudes, si d’autres formes politiques leur permettraient de communiquer. Elles parlent d’intelligence par la distance entre leurs regards, par la possibilité du désaccord. Tentant de représenter la possibilité du côtoiement, leurs voix chantent en breton, en français ou en italien.
Gestes discrets, paroles de maintenant, bourdon long et danse spontanée, elles créent des interactions drolatiques et sonores. Elles honorent l’altérité, les liens et le vernaculaire, elles cherchent un « nous », sans définition, un espace de négociation du présent.
Une histoire de filiation, de transmission, entre un père immigré et sa fille.
Le Chant du père raconte l’histoire d’Hatice Özer, née en France dans une famille turque, devenue comédienne et celle de son père, Yavuz Özer, venu d’Anatolie pour travailler dans les années 1980 et offrir un meilleur avenir à ses enfants. Elle est volubile, lui est taiseux. Ferronnier et musicien hors pair, il joue du saz et chante dans les cafés et les fêtes de la communauté turque du Périgord. Ensemble sur scène, en turc ou en français, le père et la fille racontent comment l’héritage se transforme. Comment comprendre le sacrifice du père et la douleur du déracinement ? Que reste-il des histoires, de la convivialité, du grand départ, de la poésie ?
Par le théâtre et la musique, Le Chant du père rapproche délicatement deux êtres, deux générations, raconte des histoires, chante l’exil, le déracinement, les amours contrariées, l’injustice. Ce n’est pas du théâtre, pas un concert, pas une fête : c’est tout cela à la fois.
Une histoire de filiation, de transmission, entre un père immigré et sa fille.
Le Chant du père raconte l’histoire d’Hatice Özer, née en France dans une famille turque, devenue comédienne et celle de son père, Yavuz Özer, venu d’Anatolie pour travailler dans les années 1980 et offrir un meilleur avenir à ses enfants. Elle est volubile, lui est taiseux. Ferronnier et musicien hors pair, il joue du saz et chante dans les cafés et les fêtes de la communauté turque du Périgord. Ensemble sur scène, en turc ou en français, le père et la fille racontent comment l’héritage se transforme. Comment comprendre le sacrifice du père et la douleur du déracinement ? Que reste-il des histoires, de la convivialité, du grand départ, de la poésie ?
Par le théâtre et la musique, Le Chant du père rapproche délicatement deux êtres, deux générations, raconte des histoires, chante l’exil, le déracinement, les amours contrariées, l’injustice. Ce n’est pas du théâtre, pas un concert, pas une fête : c’est tout cela à la fois.
Plus de 700 exposants, restauration sur place, manèges… Réservation en ligne dès le lundi 19 avril 2024 sur www.myBrocante.fr
Pièce d’identité exigée sur le site pour la réservation des particuliers. Carte professionnelle ou extrait de K bis exigé sur le site pour la réservation des professionnels (hors produits alimentaires et produits neufs).
Tarifs des emplacements : Particuliers : 7 € les 2 mètres. Professionnels : 20 € les 2 mètres
Arrivée des exposants à partir de 6h. La circulation dans le bourg sera fermée à partir de 8h.
Les mesures sanitaires en vigueur s’appliqueront.
Théâtre de Poche – Durée : 1h00
Tout public – À partir de 12 ans
À la croisée de la danse, du cirque et de l’illusionnisme, ce solo de et avec Pierre Rigal est emblématique de son parcours : une aventure à la fois tragique et burlesque, combinant puissance et grâce, performance physique de haute volée et vertiges existentiels.
L’homme, pétri de ses contradictions s’enfonce dans une impasse, un espace mental oppressant, ou sublime projection. Une chaise, une lampe, et tout un monde de fracas et de beautés. Le danseur et sportif de haut niveau se tord, vibre, s’électrifie. Il lutte contre les éléments. Modifiant en permanence son positionnement et ses mouvements, il se fait le démiurge d’une scène où tout est à réinventer.
Press met en jeu l’inquiétante étrangeté et l’implacable pression de nos vies modernes. En dialogue continu avec la musique que son corps semble générer au moindre mouvement, Pierre Rigal fait de ce cauchemar d’enfermement un combat vital, un poème à l’élégance graphique où le burlesque côtoie le fantastique. Ahurissant !
Press est présenté dans le cadre du festival Waterproof.
Théâtre de Poche – Durée : 1h00
Tout public – À partir de 12 ans
À la croisée de la danse, du cirque et de l’illusionnisme, ce solo de et avec Pierre Rigal est emblématique de son parcours : une aventure à la fois tragique et burlesque, combinant puissance et grâce, performance physique de haute volée et vertiges existentiels.
L’homme, pétri de ses contradictions s’enfonce dans une impasse, un espace mental oppressant, ou sublime projection. Une chaise, une lampe, et tout un monde de fracas et de beautés. Le danseur et sportif de haut niveau se tord, vibre, s’électrifie. Il lutte contre les éléments. Modifiant en permanence son positionnement et ses mouvements, il se fait le démiurge d’une scène où tout est à réinventer.
Press met en jeu l’inquiétante étrangeté et l’implacable pression de nos vies modernes. En dialogue continu avec la musique que son corps semble générer au moindre mouvement, Pierre Rigal fait de ce cauchemar d’enfermement un combat vital, un poème à l’élégance graphique où le burlesque côtoie le fantastique. Ahurissant !
Press est présenté dans le cadre du festival Waterproof.
Tournée sur le territoire – Durée : 35 min
De 0 à 3 ans
En utilisant différentes techniques comme le dessin, la gravure, le moulage, la peinture pour raconter ses histoires, l’artiste nous plonge ici dans un étonnant village minuscule où toutes les maisons se ressemblent. Mais chacune a son histoire. Quand Les Géants débarquent, le village est chamboulé et toutes ses histoires sortent alors au grand jour.
Les Géants est une installation expérimentale autour de livres-objets, entre corps, art du textile, son et arts plastiques proposant une déambulation narrative, tactile et sensorielle pour les tout-petits.
À destination du très jeune public, Les Géants est présenté en tournée sur le territoire de la Bretagne romantique et du Val d’Ille-Aubigné.
Des ateliers en bibliothèque sont proposés autour de ce spectacle le 3 et 7 février 2024.